De nouvelles perspectives pour rechercher le HPV grâce à un génotypage complet à partir d’échantillons d’urines auto-prélevés
Historiquement, le dépistage de ce virus a nécessité la collecte d’échantillons de tissus à l’aide de prélèvements cervicaux ou d’autres prélèvements sur le site corporel. Le processus d’échantillonnage peut être embarrassant et peu pratique, et les statistiques montrent que pour diverses raisons culturelles, religieuses et de style de vie, les femmes ne subissent pas de dépistage du cancer du col de l’utérus aussi souvent qu’elles le devraient. 4,5
En permettant de génotyper les infections au VPH avec un échantillon d’urine qui est recueilli sans douleur par le patient en toute intimité, on espère que les taux de dépistage du VPH pourront être augmentés, les études d’efficacité des vaccins simplifiées et des vies sauvées. 6,7,8
Le test de génotypage déjà largement utilisé pour la détection et la spécification du VPH de Fujirebio, INNO-LiPA HPV Genotyping Extra II, a maintenant reçu le marquage CE pour une utilisation avec des échantillons d’urine de premier vide autocueillis et préservés par l’UCM.
INNO-LiPA HPV Genotyping Extra II – haute sensibilité et spécificité sur échantillon cervical et urine
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Identification sensible et spécifique de 32 génotypes de HPV à l’aide d’échantillons cervicaux sur écouvillon (cytologie en milieu liquide) 9 et de tissu inclus en paraffine (FFPE) 10
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La cible PCR SPF10 utilisée peut génotyper des infections même en cas d’ADN dégradé (échantillons FFPE) et en cas de faible charge virale, de types HPV «masqués» et d’infections mixtes HPV. 9,10,11
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Le protocole d’urine nouvellement validé permet désormais d’obtenir des résultats de génotypage sensibles et spécifiques également sur des échantillons d’urine de première miction préservés par l’UCM (voir la notice d’utilisation)